Fiche d'information: 03) La Qualité de l’Air

La Qualité de l’Air

À l’aide des réglementations et des progrès techniques concernant les sources d’émission, la qualité de l’air en Suisse a pu être améliorée, par exemple, le dioxyde de souffre et les poussières fines ont été réduits. Concernant le dioxyde d’azote et l’ozone, les objectifs ne sont pas encore atteints. Grâce à une technique améliorée et des prescriptions plus contraignantes, la qualité de l’air en terme de présence de dioxyde de souffre et des poussières fines a été nettement améliorée. Concernant le dioxyde d’azote et l’ozone, la quantité a été légèrement améliorée ou maintenue, bien que la population a augmenté de 26%. Les effets de la pollution atmosphérique :

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… Sur la Santé: Ce sont les charges excessives de poussières fines et d’ozone qui constituent la plus grande menace, parce qu’elles provoquent des maladies des voies respiratoires et du système cardio-vasculaire. … Sur l’écosystème: Les polluants atmosphériques peuvent être transportés sur de longues distances. La teneur en souffre et en nitrate acidifie et surfertilise les écosystèmes sensibles. L’ozone a des effets aigus et chroniques sur la végétation. … Sur le climat : Beaucoup de polluants atmosphériques ont outre que les effets négatifs sur l’homme et l’environnement, aussi et par conséquent un effet direct et indirect sur le climat. … Sur l’économie nationale: La pollution de l’air provoque encore chaque année des coûts de plusieurs milliards de francs à la société. Les coûts externes, qui ne sont pas payés par les usagers, concernent la santé, des pertes de récoltes et des détériorations aux matériels et aux bâtiments. Les dépenses de santé sont estimées d’une valeur annuelle de 5,1 Milliards de CHF. Les effets des mesures prises : La Source: BAFU Les graphiques ci-dessous se réfèrent à la période entre 1980 jusqu’à 2012 (à part l’ozone), la population résidente permanente en Suisse est crû de 6,30 millions en 1980 à 7,95 Millions en 2012, soit une croissance de 26%. Les graphiques démontrent, que le succès de l’introduction de nouvelles technologies et des régulations de plus en plus contraignantes est très variable : pour l’oxyde de souffre c’est le plus évident, pour l’ozone ce n’est pas manifestement encore achevé.

JVO, 04/14